Provideur d’errances
De promesse en dérobade
Après une matinée duraille a supporter un mal de ventre des plus chronique , je décidais de sentir mon doigt que j’avais auparavant frottés à l’orée de mon intestin.
Suite à cette expérience malnecontreuse, je dus me rendre à l’évidence suivante :
du a une mayonnaise pas fraîche consommé en totale innocence par votre serviteur, mon système digestif émettait moult malodorance, que la dignité la plus primaire nous interdit de reproduire dans ses pages.
Mais comme si ça ne suffisait pas ma voisine de self, à la compréhension de mon désagrément inopportun, ne put s’empêcher de sourire tel la jument à l’approche de la saillie :
je me remémora alors pour ne pas sombrer dans la contre attaque de mysoginite à son endroit de bien mauvais aloi, d’un baiser que j’avais échanger il y a peu avec ma voisine de palier néanmoins ami de coeur :
Ce souvenir des plus requinquant me mis du baume à l’âme et du cor au pieds, à moins que se ne soit l’inverse… Mais enfin j’étais à l’évocation de cette réminiscence tout prêt à l’usage de tolérance vis à vis de mon indigne compagne de mangeaille… Or celle ci ne l’entendait point d’une oreille compatissante ni même d’une oreille tout court! Non la donzelle se comporta de façon outrageuse devant l’assistance en présence :
Diantre, j’essayais de lui expliquer à la péronnelle , j’usais d’ailleurs à cet instant de toute la force de conviction qui a fait ma réputation jusque dans l’Allier et la Drôme
Mais là encore , la donzelle en question ne voulu rien entendre , rien…
Je me sentis alors comme suspendu, comme absentément léger…
Et face à cette évocation des plus illustre de ma virilité en berne, vous ne devinerez jamais quelle fut sa réaction ( a ma voisine de self qui avait remarqué que j’avais senti mes fesses et qui voyant que je m’en foutais avais tout fait pour se faire remarquer) ……
Non ??
Et bien :
RIEN !!!
non mais dit ho, ça va oui, on est pas des bêtes !!!
On a droit au Bonheur aussi , et fissa !!!!
Flok-flok , choque les maths, flatte les bottes…
Tant d’ellipses hasardeuses
M’écartèle via nurse et gueuse,
Bûche bécasse, brave peureuse.
Baoum !! Brame les contre-prêtres
avides de calembours et de tas de mots en « i ».
Boeuf en tontine,
Esclave las qui suppure mal.
Clap-clap-clap se démène le décorum
Plus fort, rie plus fort !
Poy-poy-poy, laque et vermine, tout mêlé…
J’astéroide, convint un robot que l’Aztèque c’est « in »
Métalobise du brun avec du fric.
J’éjacule du fortichisme
De la coulée de boue, de la lave si t’es gentille.
Maille-maille-maille me dit-elle !
Je me décortique en écheveau,
C’est dans mes gènes mes craquelures au cerveau.
Je popote des babils, des saynètes, des barbelés…
Les faux-bardes donnent beaucoup de suées aux envieux.
Je comédise le tracé des comètes,
Je donne dans l’ellipse, le masturbatoire forcené,
Mais les billets manquent.
Les maquignons ont soif de sang neuf,
J’ai pas mille, j’ai pas cent, même pas le quart du centième d’un.
Peau de cacaouhète, un fond de vernis, une extase qui dure ?
Ploum-ploum-ploum, Oye moi cantiner !
Attends , attends ! Mon bout de la langue s’enfle de révélation…
Vois comme ça vient fort , j’ai le métacarpe qui se congestionne,
Celui qu’en veut, il commande !
S’il peut pas, il m’élabore un fax avec des restes de saindoux !
Moi y’en a avoir trop de phrase de conclusion.
Moi y’en a trop peu de coups de reins en stock !
Toi t’a qu’à m’attendre, et surtout reste digne Dugenou !
C’est pas comme s’il te restait autre chose comme choix…
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